Cetatea ideală în viziunea anticilor

Les gens essaient toujours d’améliorer les conditions dans lesquelles ils vivent, ils sont toujours dans la recherche d’une vie meilleure, ils veulent une éducation meilleure pour ses enfants, une société plus sure, une politique plus stables, ils voudraient vivre dans un régime idéale.

Les philosophes antiques ont été mecontents du régime politique dans lequel ils vivaient et pour cela ils ont essayé de trouver le régime politique parfait qui assure la satisfaction de tous les habitants.

Platon (424-348 avant J.C.) a crée une cité idéale, qui correspondait, de son point de vue a tous les demandes de ses habitants. Pour construire cette cité parfaite qui assure le bonheur de tous les citoyens Platon a analysé tous les domaines de la société grecque et a proposé une organisation et une structure qui devrait permettre à la société de se développer et de satisfer toutes les besoins de ses habitants. Selon Platon, la qualité d’un régime politique dépend de l’existence d’un bon rapport entre les gouvernants et les gouvernés.

La création de la cité idéale est un processus qui commence avec l’éducation des guerriers et des gardians. Platon décrit quelques points qui doivent être respectés pour assurer la longévité et la qualité de la cité idéale. Ces points sont: la sélection qualitative des citoyens, la distribution surveillée des terres et des propriétés, le contrôle des naissances et du mariage, le contrôle de la circulation de l’argent et le dernier, l’établissement d’un juste rapport entre le pouvoir politique et les propriétés détenus par les magistrats.

Pour Platon un régime est bon s’il est juste. Pour il la justice représente l’équilibre entre les partis de la société et leur rôle. Donc, le sens de la justice peut être définit comme le rapport idéale entre les vertus de l’âme humaine (la raison, le courage, le désir) et les partis de la cité. Dans sa tentative de trouver le régime idéale, Platon fait dans La République une classification de 5 formes de régimes politiques: L’aristocratie, caractérisé par la bonté, la timocratie, par l’ambition et l’orgueil, l’oligarchie, par l’avarice, la démocratie par la liberté et la tyrannie caractérisé par la peur. Ces régimes passent de l’un à l’autre. L’aristocratie qui existe premièrement, se dégrade et le pouvoir politique ne plus donné aux sages. De plus en plus les citoyens sont incités à guérir les uns avec les autres : ce régime est la timocratie. Le régime timocratique devient oligarchique quand, dans la recherche du profit une partie de la population devient riche et alors que l’autre reste très pauvre, et les riches imposent leurs opinions par la force. Le mécontentement de ce régime politique est que les habitants « conspirent sans cesse les uns contre les autres » .Les pauvres se révoltent contre les riches et ils mettent la base du régime démocratique. Dans ce régime la «la cité déborde de liberté » il y a la liberté et l’égalité entre les citoyens et il y a aussi « la licence de faire tout ce qu’on veut ». Cet excès de liberté produit un autre type d’excès : l’excès de la servitude. Le tyran apparaissent pour enlever l’anarchie, et premièrement il va dire qu’il est le protecteur de la cité et des ses citoyens, mais finalement le but de ses actions va être son propre bien.

Pour Platon les hommes sont les plus heureux dans l’aristocratie et le moins heureux dans la tyrannie, donc la tyrannie est le pire régime. En ce qui concerne le régime idéal, Platon dit qu’est le régime conduit par les philosophes, parce que ceux-ci sont les meilleures pour prendre les décisions et pour juger. Le motif est que « l’instrument qui est nécessaire pour juger n’appartient pas à l’homme intéressé, ni a l’ambitieux mais bien au philosophe.» Ce régime idéal, construit par Platon s’appelle « la sophocratie».

Aristote (Aristote (384-322 avant J.C.), qui était le disciple de Platon essaie aussi de décrire la cité idéale. Pour Aristote « une cité est la communauté de la vie heureuse, c'est-à-dire dont la fin est une vie parfaite et autarchique». Aussi pour Aristote, la cité idéale est celle qui est formé d’un nombre de gens, ni plus ni moins, qui sont capables d’assurer une vie autarchique. Donc, pour Aristote le but de la cité idéale est d’assurer le bonheur des citoyens.